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Lecture et balade d’origine contrôlée

1er décembre 2018

Pour prolonger l’expérience des saisons 1 et 2 de J’ai un plan, un partenariat a été engagé avec les AOC de l’égalité. Ensemble nous avons organisé, le 1er décembre 2018, une balade entre Bègles et Bordeaux sous le titre : “Les chemins de l’hospitalité, un autre regard sur les migrants et la précarité”.

Le rendez-vous était fixé à la Chapelle de Mussonville à Bègles pour un petit déjeuner convivial suivi de la projection d’une sélection de photos de participants aux projets J’ai un plan : Tarek, Mustafa et Rawaa. Accompagnés par des comédiens, ils ont lu leurs textes en présence de Clément Rossignol-Puech, maire de Bègles.

Une balade entre Bègles et Bordeaux a ensuite été proposée pour retracer le chemin parcouru lors de cette expérience photographique et poétique, et découvrir les lieux qui ont fait sens pour les participants.

Après un voyage en tram accompagné par la musique de Cheikh Sow, nous nous sommes arrêtés à la gare pour une ponctuation musicale du pianiste Zola Ntondo et une lecture d’extraits de l’ouvrage poétique Valises de Rémi Checchetto.

La déambulation a ensuite repris en direction de la Porte de Bourgogne pour une promenade à la découverte de la rue Bouquière : de N’a Qu’1 Œil à l’espace Hom’âge de l’association Alifs.

Après un repas partagé au Réseau Paul Bert, le groupe s’est rendu au Musée d’Aquitaine pour une projection / débat autour du documentaire «Un Jour ça ira» de Stan et Édouard Zambeaux animé par Camille Syren Schoepfer, présidente de la Cabane à Gratter, et Michel Blanchard, de l’Observatoire de la précarité en Gironde.

Avant l’apéro, une visite de l’exposition «Refuges» de la photographe Leila Sadel a également été proposée.

24 cartes postales, éditées à partir des photographies des participants au projet J’ai un plan et des photographies de l’artiste Leila Sadel, ont également été remises à la cinquantaine de personnes présentes. Ainsi, dans le cadre d’une animation intitulée « Bons baisers d’ici », des cartes postales affranchies par le Musée d’Aquitaine ont pu être envoyées à destination de personnes proches et plus lointaines.

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